Retour sur l'évènement Nyappy de ce début d'année...
© An Cafe - JaME - Philippe Hayot
<DIV class=txt>Peut-on encore dire qu'
An Cafe, le célèbre groupe d'oshare kei, était "attendu" ? Certes non, le mot est bien trop faible puisque les 900 places disponibles ont été vendues en juste une petite semaine. Autant dire qu'ils allaient devoir assurer pour ce premier concert dans l’hexagone.
Après un passage en Finlande, en Suède et en Allemagne, c'est au tour des français d'attendre les "Nyappy" de pied ferme tout en chantant le refrain de Nyappy in the world "Tiramisu, nyappy, poppo". Dans la file d'attente, les gens s'entassent pour espérer voir les membres sortir de leur fameux bus rouge. A 14h, l'attente se fait sérieusement sentir : on pousse, on écrase, on fait des malaises. Le staff est obligé de faire entrer les premiers pour éviter des accidents. C'est à 16h que les portes s'ouvrent et que tout le monde court pour prendre place. Les heures passent et, malheureusement, se ressemblent : les instruments ne sont toujours pas accordés, la fosse se fait oppressante et les fans s'impatientent. Le groupe se fait désirer et, enfin, les lumières s'éteignent.
Teruki, le batteur, entre le premier, suivit de près par
Yuuki le claviériste au look déjanté (serait-il le fils de Polnareff ?). Le ténébreux
Kanon débarque à son tour sur scène, bientôt imité par
Takuya et enfin
Miku, qui brandit fièrement le signe des Nyappy du bout des doigts.
Les premières notes de
Maple gunman, un de leur plus grand succès, résonnent tandis que le public exprime sa joie avec elles, ce qui surprend <B>Miku